- Papa, quand je suis né qui m'a donné mon intelligence ?
- Sans doute ta mère parce que, moi, j'ai encore la mienne !
Depuis le mois d'octobre 2005, je pratique l'aïkido, une discipline qui me passionne et m'apporte bcp de serenite. J'aimerais vous la presenter et vous la faire partager : voici le fondateur, si je puis dire...
O SENSEI
MAITRE MORIHEI UESHIBA
né le: 14 Décembre 1883
à Tanabé dans l'île de honshu
- 1893 Son père l'initie aux méthodes de combat des Samouraïs
et au maniement du sabre et de la lance.
- 1901 Il pratique avec Maître Tokusaburo Tojawa le Jujitsu
à l'école Kito à Tokyo.
- 1903 Il se rend à Sakai pour étudier le sabre avec Maître
Masakatsu Nakaï de l'école Yagyu, dont il fut diplomé en 1908.
- 1904 Il s'engage dans l'infanterie et il participe à la guerre
entre la Russie et le Japon en Mandchourie.
- 1911 Installé à Hokkaido il rencontre Maître Sokaku Takeda
qui lui enseigne les techniques secrètes de l'école Daïto, dont
il obtient le diplôme de Maître en Jujitsu en 1916.
- 1919 Son père très malade, il décide de retourner à Tanabé.
Sur le chemin du retour il fait la connaissance du Révérend
Wanisaburo Deguchi fondateur de la religion Omotokyo.
- 1920 Son père meurt en janvier. Peiné par son décès,
il passe plusieurs mois à Ayabé dans le temple religieux
de l'Omotokyo.
- 1922 Il étudie les techniques de Jujitsu de l'école Shinkagé,
il en sort diplomé.
- 1924 Il quitte le Japon pour accompagner le révérend Deguchi
en Mongolie. Il revient à Ayabé en 1925 où il a, à force d'étude,
la révélation de son Art.
- 1927 Il s'installe à Tokyo dans une salle de billard que met
à sa disposition le prince Shimazu pour qu'il aménage un dojo.
- 1931 A Tokyo il construit un dojo qui prend le nom de Kobukai,
où il enseigne jusqu'à ce que la guerre vide son dojo de ses
meilleurs éléves. Il se retire à Iwama où se trouve le sanctuaire
actuel de l'Aïki.
- 1946 Les Américains interdisent les arts martiaux.
- 1948 Réouverture du Kobukai qui devient le 9 février
le Zaidan Honji Aïkikaï.
- 1961 Le gouvernement Japonais reconnaît officiellement
l'Aïkikaï so hombu.
O SENSEI s'éteint le 26 avril 1969.
Une photo que je trouve magnifique....
Souvent absentes du récit, les fées, ne suffisent pas à définir le conte de fées. Cette expression désigne en fait un genre littéraire français correspondant à ce que les folkloristes appellent le conte merveilleux. Il se définit généralement par sa structure narrative, mise en lumière par les travaux de Vladimir Propp : un héros ou une héroïne, subissant un malheur ou un méfait, doit traverser un certain nombre d’épreuves et de péripéties, qui souvent mettent radicalement en cause son statut ou son existence, pour arriver à une nouvelle situation stable, très souvent le mariage ou l’établissement d’une nouvelle vie. Selon les cas, le conte peut combiner de très nombreux éléments, se répéter, et peut être aussi complexe que long.
Ce schéma correspond souvent, pour les personnages, au passage de l’enfance à l’âge adulte, et notamment à la découverte de la sexualité. Les psychanalystes y voient l’expression organisée de fantasmes, et des récits de transformations du héros permettant d’atteindre une conscience supérieure, aidant à la construction de la personnalité.
Le conte de fées se définit aussi par le pacte féerique passé entre le conteur et son auditoire ou ses lecteurs. Ces derniers acceptent de croire à l’univers merveilleux et à ses lois, d’entrer avec le conteur dans un monde second sans rapport avec le nôtre. Ce monde où les héros sont comme anonymes, figures plus qu’êtres, où les distances et le temps varient, où toutes sortes de créatures peuvent se manifester, où tout, de la forêt à la clef, peut se révéler Fée.
ALLEZ LE VOIR / ADRESSE DU SITE DS MES LIENS
MERCI