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  • : le blog evene38 par : Manue
  • : Coucou à tous ! Voici un peu le blog regroupant tout ce que j'aime et ce qui me passe par la tête....
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15 mai 2006 1 15 /05 /mai /2006 19:53
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15 mai 2006 1 15 /05 /mai /2006 12:47

 

Soupe arabe

Préparation : 30 à 40 min
Ingrédients (pour 6 personnes)

  • 2 ou 3 oignons hachés
  • 1 gousse d'ail hachée
  • 300g de collier de mouton en cubes de 1,5cm
  • 1 kg de tomates fraiches (ou en boite) pelées, épépinées, en morceaux
  • 100g concentre de tomate
  • 100g de poids chiches (en boite précuits)
  • 2 ou 3 bottes de coriandre fraiche hachées
  • 1 botte de menthe fraiche hachées
  • 1 ou 2 poignée de blé concassé
  • 2l d'eau environ


Dans un faitout
- Faire fondre les oignons avec l'ail dans un peu de matière grasse avec sel et poivre. Puis ajouter la viande et laisser cuire 1/4h.
- Ajouter les tomates, le concentré de tomate et les poids chiches.
- Ajouter de l'eau, et laisser bouillir jusqu'a cuisson des poids chiches. S'ils sont pre-cuits, laisser bouillir quelques minutes.
- Ajouter toutes la coriandre, 1/2 c.a.c de menthe et le Pipil de blé. Laisser mijoter au moins 20 minutes.

A la place du mouton, on peut mettre du poulet, ou les deux.

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15 mai 2006 1 15 /05 /mai /2006 12:24

 

 

Ingrédients

  • 600 g de fromage blanc égoutté
  • 125 g de crème épaisse
  • 2 oeufs entiers
  • 2 jaunes d'oeufs
  • 175 g de sucre
  • 1 cuillère a soupe de farine
  • 1 paquet de sucre vanille ou de l'extrait de vanille
  • zeste de citron (facultatif)


- Faire une pâte brisée. La mettre en boule et la laisser reposer au frais.
- Tamiser le fromage afin de le réduire en crème fine, mélanger bien avec la crème. Fouetter le mélange. Ajouter les oeufs entiers un a un, les jaunes, le sucre mélange a la farine, la vanille ou le zeste de citron.
- Étendre la pâte et en garnir un moule a tarte beurre et farine. Piquer le fond a la fourchette. Verser la préparation au fromage.
- Mettre a four chaud. Au bout de 20 mn, baisser la température. Laisser cuire encore 25 mn.
- La tarte bien dorée peut être servie froide ou tiède saupoudrée de sucre.

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15 mai 2006 1 15 /05 /mai /2006 12:19

 

Ingrédients (pour 6 personnes)

  • 2-3 concombres
  • 1 kg de fromage blanc 20%
  • 50 cl de crême fraiche epaisse
  • au choix
    • soit du yaourt grec
    • soit de la feta coupee en tous petits morceaux
  • beaucoup d'ail
  • 5 petits oignons blancs frais
  • aneth
  • basilic
  • poivre
  • huile d'olive


Préparer 24 h à l'avance.

- Couper les concombres en dés, les laisser tremper 2h dans du sel. Vider l'eau qui a dégorgé, ajouter un filet d'huile d'olive, les herbes et les épices.
- Laisser 1h à température ambiante. Mélanger avec le reste.

Possibilité de mettre de la coriandre, et du persil à la place de l'aneth.

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15 mai 2006 1 15 /05 /mai /2006 11:22

Il était une fois, une veuve qui avait deux filles : l'aînée lui ressemblait si fort d'humeur et de visage, que, qui la voyait, voyait la mère. Elles étaient toutes deux si désagréables et si orgueilleuses, qu'on ne pouvait vivre avec elles. La cadette, qui était le vrai portrait de son père pour la douceur et l'honnêteté, était avec cela une des plus belles filles qu'on eût su voir. Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et, en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. Elle la faisait manger à la cuisine et travailler sans cesse. Il fallait, entre autres choses, que cette pauvre enfant allât, deux fois le jour, puiser de l'eau à une grande demi-lieue du logis, et qu'elle rapportât plein une grande cruche. Un jour qu'elle était à cette fontaine, il vint à elle une pauvre femme qui lui pria de lui donner à boire.

-"   Oui-dà, ma bonne mère,   " dit cette belle fille  ; et, rinçant aussitôt sa cruche, elle puisa de l'eau au plus bel endroit de la fontaine et la lui présenta, soutenant toujours la cruche, afin qu'elle bût plus aisément. La bonne femme, ayant bu, lui dit  : "   Vous êtes si belle, si bonne et si honnête, que je ne puis m'empêcher de vous faire un don  ; car c'était une fée qui avait pris le forme d'une pauvre femme de village, pour voir jusqu'où irait l'honnêteté de cette jeune fille. Je vous donne pour don, poursuivit la fée, qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou une fleur, ou une pierre précieuse.  "

Lorsque cette belle fille arriva au logis, sa mère la gronda de revenir si tard de la fontaine. "   Je vous demande pardon, ma mère, dit cette pauvre fille, d'avoir tardé si longtemps  "   ; et, en disant ces mots, il lui sortit de la bouche deux roses, deux perles et deux gros diamants. "   Que vois-je là  ! dit sa mère toute étonnée  ; je crois qu'il lui sort de la bouche des perles et des diamants. D'où vient cela, ma fille  ? (Ce fut là la première fois qu'elle l'appela sa fille.) La pauvre enfant lui raconta naïvement tout ce qui lui était arrivé, non sans jeter une infinité de diamants. "   Vraiment, dit la mère, il faut que j'y envoie ma fille. Tenez, Fanchon, voyez ce qui sort de la bouche de votre sœ ur quand elle parle  ; ne seriez-vous pas bien aise d'avoir le même don  ? Vous n'avez qu'à aller puiser de l'eau à la fontaine, et, quand une pauvre femme vous demandera à boire, lui en donner bien honnêtement. - Il me ferait beau voir, répondit la brutale, aller à la fontaine  ! - Je veux que vous y alliez, reprit la mère, et tout à l'heure.  "

Elle y alla, mais toujours en grondant. Elle prit le plus beau flacon d'argent qui fut au logis. Elle ne fut pas plus tôt arrivée à la fontaine, qu'elle vit sortir du bois une dame magnifiquement vêtue, qui vint lui demander à boire. C'était la même fée qui avait apparu à sa sœ ur, mais qui avait pris l'air et les habits d'une princesse, pour voir jusqu'où irait la malhonnêteté de cette fille. "   Est-ce que je suis ici venue, lui dit cette brutale orgueilleuse, pour vous donner à boire  ? Justement j'ai apporté un flacon d'argent tout

 

exprès pour donner à boire à Madame  ! J'en suis d'avis  : buvez à même si vous voulez. - Vous n'êtes guère honnête, reprit la fée, sans se mettre en colère. Eh bien  ! puisque vous êtes si peu obligeante, je vous donne pour don qu'à chaque parole que vous direz, il vous sortira de la bouche ou un serpent, ou un crapaud.  "

D'abord que sa mère l'aperçut, elle lui cria  : "   Eh bien  ! ma fille  ! - Eh bien  ! ma mère  ! lui répondit la brutale, en jetant deux vipères et deux crapauds. - O ciel, s'écria la mère, que vois-je là  ? C'est sa sœ ur qui est en cause  : elle me le paiera  "   ; et aussitôt elle courut pour la battre. La pauvre enfant s'enfuit et alla se sauver dans la forêt prochaine. Le fils du roi, qui revenait de la chasse, al rencontra et, la voyant si belle, lui demanda ce qu'elle faisait là toute seule et ce qu'elle avait à pleurer  ! "   Hélas, Monsieur, c'est ma mère qui m'a chassée du logis.  " Le fils du roi, qui vit sortir de sa bouche cinq ou six perles et autant de diamants, lui pria de lui dire d'où cela lui venait. Elle lui conta toute son aventure. Le fils du roi en devint amoureux  ; et, considérant qu'un tel don valait mieux que tout ce qu'on pouvait donner en mariage à une autre, l'emmena au palais du roi son père, où il l'épousa.

Pour sa sœur, elle se fit tant haïr, que sa propre mère la chassa de chez elle  ; et la malheureuse, après avoir bien couru sans trouver personne qui voulut la recevoir, alla mourir au coin d'un bois.

 

 

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14 mai 2006 7 14 /05 /mai /2006 20:03

Un jour, j'ai rencontré un gentil monsieur et nous sommes tombés amoureux.

Nous devions nous marier, alors j'ai cessé de manger mon plat préféré : les féves aux lard...

Quelques mois plus tard, le jour de mon anniversaire, je suis tombée en panne au retour à la maison. J'ai donc appelé mon mari pour le prévenir que je serais en retard car il fallait que je marche jusque la maison.

En marchant, je passe devant un petit restau, d'où émane une bonne odeur de féves au lard à laquelle je ne peux résister.  Vu les kms qu'il me reste à marcher, je me dis que les 'effets' seraient certainement passés une fois arrivée à la maison. Alors je m'arrête et sans m'en appercevoir, j'ai mangé 3 grandes portions de mon plat.

A mon arrivée, je fus surprise de voir mon mari déja rendu, tout exité de me voir et qui s'exclame : 'chéri, je t'ai fait une surprise pour le dîner de ce soir'.

Alors il me met un foulard sur mes yeux et me fait asseoir à ma table. En m'asseyant, le téléphonne sonne juste au moment ou il allait me retirer le foulard. Il me fait promettre de ne pas y toucher jusque au moment ou il revienne et va répondre.

Les féves que j'avais avalé me faisaient toujours un effet du tonnerre, et la pression devenait intenable. Mon mari n'etant pas dans la piéce, j'en profitais. Je bougeai mon poids sur une jambe, et laissais en échapper un.

Non seulement il était bruyant, mais l'odeur était intenable. Je fis circuler ma serviette autour de moi pour faire circuler l'air. Puis j'en fis échapper trois de plus, l'odeur était pire que le chou cuit.

Attentive à la conversation de mon mari dans l'autre piéce, je continuais ainsi pendant quelques mn. Le plaisir était indéscriptible.

Alors que les salutations au téléphonne signalaient la fin de ma liberté j'aerais de nouveau la piéce avec ma serviette et je la replacais sur mes genoux, fiére de moi.

Mon visage refletais mon innocence au retour de mon mari, qui s'excusait d'avoir etait aussi long. Il me demanda si j'avais triché et regardé : je l'assurais que non.

C'est alors qu'il retira le foulard et que douze invités assis autour de la table s'écrierent en choeur :

 BON ANNIVERSAIRE !

 

 

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